En tant qu’amoureuse des mots depuis mon plus jeune âge, je peux comprendre que l’on fronce les sourcils en entendant l’expression « usine à contenus » : vision d’horreur de mots malmenés sur un tapis roulant, découpés en petits morceaux avant d’être assemblés n’importe comment par un robot sans conscience grammaticale… Cela a en effet de quoi susciter l’effroi. Mais bonne nouvelle, l’usine à contenus – ou Content Factory - c’est plutôt très positif pour les passionnés de contenu : il s’agit en effet de garantir la qualité des contenus tout en assurant une cadence élevée de production.
Alors que les jours se suivent et se ressemblent pour la plupart d’entre nous, penser à « l’après-crise-COVID-19 » peut aider à garder un état d’esprit positif et serein. Les récentes nouvelles de Chine permettent d’entrevoir une lueur d’espoir pour le reste du monde, même si – soyons lucides – il va falloir s’armer de patience.